Informations générales

Nos cheveux influencent notre apparence

 

La beauté est, avant tout, un concept socio-culturel. Les axes qui en définissent les critères changent à travers le temps. Cependant il existe des critères immuables comme celui des cheveux.


Origine de la perte des cheveux

 

origine de la perte de cheveux

La calvitie impacte les hommes mais aussi les femmes. La cause la plus fréquente chez l’homme est l’alopécie androgénétique, héréditaire, connue sous le nom de calvitie.

Le nom « androgénétique » s’explique par l’origine de cette affection à savoir, les androgènes, c'est-à-dire les hormones mâles (testostérone), et la génétique, faisant référence à notre « patrimoine génétique » personnel et familial.

Les androgènes sont produits par les gonades (testicules et ovaires) et les glandes surrénales.

La dihydrotestostérone (DHT) est produite par l’interaction entre la testostérone et une enzyme appelée 5-alpha réductase présente dans le follicule pileux.


Chez un sujet prédisposé,
la DHT est le facteur déclenchant de la calvitie

 

L’impact du stress, d’une alimentation déséquilibrée ou carencée peut amplifier les prépondérances génétiques. Parmi les causes plus rares de la chute de cheveux, réversibles sous traitement, on peut citer les maladies de la thyroïde, le déficit en fer, une fièvre élevée, une intervention chirurgicale ou une anesthésie générale, un régime sévère, un accouchement et certains médicaments.

Certaines inflammations du cuir chevelu, telles que le lupus, le lichen plan pilaire et la pelade peuvent aussi être responsables de la chute de cheveux temporaire ou définitive.

Cette perte de cheveux se marque initialement par une perte de volume et de masse. Cette progression est plus ou moins rapide d’une personne à l’autre et le stade final est difficile à prévoir.


Hérédité

 

chute de cheveux hereditaire

La transmission génétique provient aussi bien du père que de la mère vers l’homme et la femme. La calvitie peut sauter une génération ou même avoir des degrés différents de dégarnissement entre frères et sœurs d’une même famille.

Malheureusement, il n’est pas possible de prévoir avec précision l’évolution de la calvitie d’un individu. Sachons toutefois que 90% des calvities sont de causes héréditaires chez les hommes et respectivement 75% chez la femme.

La tendance à la chute de cheveux de type masculine et féminine est transmise par les gènes paternels ou maternels et se manifeste après la puberté.

Les cheveux prédisposés, en général à l’avant de la tête et sur la couronne, voient leur calibre et leur longueur réduire progressivement au fur et à mesure des cycles, d’une durée de 2 à 6 ans, jusqu’à disparaître. Les cheveux de la zone postérieure et des côtés sont génétiquement différents et vont durer toute la vie.


L’alopécie androgénique chez les femmes et les enfants ?

 

Une majorité des femmes rencontrent des problèmes de chute de cheveux au cours de leur vie. Chez la femme, 75 % des chutes de cheveux sont causées par l’alopécie androgénétique. Cette transmission héréditaire complexe est due aux hormones androgènes. La perte de cheveux peut être plus ou moins prononcée.

L’alopécie qui se déclare est plutôt diffuse sur l’ensemble de la tête.Chez les adolescents, les androgènes sont produits à la puberté (vers plus ou moins 18 ans), moment où l’alopécie peut commencer à se déclarer. L’enfant pré pubère n’est en revanche pas concerné par cette affection.

En conclusion, l’alopécie androgénétique n’est pas une maladie. Les niveaux d’hormones sont stables et dans la norme.

L’alopécie n’est pas une maladie

Il faut insister sur le fait que l’alopécie androgénétique n’est pas une maladie : les taux d’hormones sont normaux. La calvitie est le résultat d’une prédisposition génétique de certains follicules pileux considérés comme sensibles à l’action de la DHT. Certains traitements médicaux comme le Finastéride et le Minoxidil peuvent retarder la chute de cheveux sans pour autant prétendre la stopper. Nos techniques FUT et FUE de transplantation capillaire sont à ce jour les seules techniques persistantes avérées.


Evolution de la perte des cheveux

 

évolution de la perte de cheveux

Les cheveux poussent en cycles, chacun d’eux, dure de deux à six ans et chaque cheveu est programmé pour plus ou moins 25 cycles.

Il est important de savoir que chaque jour nous perdons entre 75 et 125 cheveux grâce au processus naturel, pendant que d’autres sont en phase dormante (télogène) et enfin certains cheveux sortent de la phase télogène pour commencer à pousser (phase anagène). Tant que ce processus est en balance, le nombre de cheveux du cuir chevelu reste constant.

La prédisposition à l’alopécie androgénétique masculine et féminine est héritée des deux côtés de la famille et se développe après la puberté.

Les cheveux génétiquement susceptibles (de l’avant et du dessus du cuir chevelu) commencent à se miniaturiser (une partie perd sa coloration), vont disparaitre progressivement et le nombre de cheveux par follicule se réduit. Les cheveux épuisent alors plus rapidement les cycles dont ils disposent qui ne vont durer plus que quelque mois. La densité des cheveux diminue.


Densité réelle et densité apparente,
un vrai jeu d’optique

 

densite reelle et apparente

Pour les patients, la densité est le second facteur le plus important après le rendu naturel d’une greffe de cheveux. Les quantités de cheveux disponibles en zone donneuse sont moindres que ceux anciennement présents dans les zones à traiter. Une stratégie globale présente et future doit être envisagée prenant en considération les caractéristiques individuelles de chaque patient (quantité de cheveux en zone donneuse, zones à restaurer, couleurs, calibre et aspect des cheveux).

Il faut discerner la densité réelle (densité quantifiable au cm2) de la densité apparente (densité éprouvée subjective). On a tendance à dire que la densité apparente reste stable de nombreuses années, et ce même si la densité réelle s’amenuise avec la perte de cheveux. A ce stade, votre entourage ne perçoit généralement pas votre perte de cheveux et la considère souvent comme inexistante. La densité apparente commence à être visible lorsque l’on descend en-dessous du seuil des plus ou moins 50% de votre densité originelle réelle.

Jeu d’optique, la greffe capillaire repose donc sur le principe de la densité apparente. De ce fait, nous pouvons augmenter la superficie des zones à restaurer et obtenir une densité apparente satisfaisante par une distribution harmonieuse des greffes. Ce principe est aussi considéré dans notre stratégie d’extraction des greffes en zone donneuse.


Principe

 

Le principe de la greffe capillaire repose sur deux techniques chirurgicales qui permettent un transfert de cheveux. La technique FUE (Follicular Unit Extraction) et la technique FUT (Follicular Unit Transplant).

La greffe de cheveux s’appuie sur une notion avérée : le bulbe ou les racines des cheveux ont une longévité qui est programmée. Génétiquement différents et résistants, les cheveux de la région occipitale sont programmés pour durer pratiquement toute la vie et être utilisés pour repeupler les zones dégarnies ou de faible densité. Par conséquent, la redistribution partielle du capital chevelu du patient n’affecte en rien leur durée de vie.

Les cheveux implantés donneront naissance à de nouveau cheveux résistants qui repousseront à vie.

Nos techniques (FUT-FUE) de pointe en restauration capillaire permettent grâce à la greffe folliculaire de remplacer les cheveux perdus et de recréer la ligne frontale, la couronne ou toutes autres zones dégarnies. La chirurgie capillaire étant si naturelle que, souvent, un œil averti ne peut la détecter.


Zone donneuse limitée

 

Les cheveux de la zone donneuse, génétiquement différents du reste du cuir chevelu sont d’une quantité finie. Comme aucun nouveau cheveu ne pourra être créé, il est absolument critique que ceux-ci soient manipulés et traités avec respect.

La conservation des follicules est vitale. Habileté, instrumentations, expériences, éthique sont autant d’éléments à considérer avant de prendre votre décision.

Une greffe effectuée par une équipe réalisant un travail de moindre qualité peut s’avérer en définitive plus onéreuse et psychologiquement très désastreuse.

En définitive, l’essentiel de votre prise de décision sera d’estimer les compétences spécifiques d’une équipe à savoir traiter votre zone donneuse avec la plus grande attention, au regard de vos attentes.

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