Greffe capillaire et stress : quel impact réel sur la chute et la repousse

Quel est le lien entre stress et chute de cheveux ?

Le stress chronique peut perturber le cycle capillaire. Il favorise l’entrée prématurée des cheveux en phase de repos (télogène), entraînant une chute plus importante quelques semaines plus tard. Ce phénomène, appelé effluvium télogène, se superpose parfois à une alopécie androgénétique déjà présente.

Le stress influence-t-il la greffe capillaire ?

Avant la greffe, un état de stress important peut amplifier la sensation de perte de cheveux et pousser à agir dans la précipitation. Après la greffe, le stress peut ralentir légèrement la cicatrisation ou accentuer la perception de chaque chute de cheveux, greffés ou natifs.

Comment Hair2BeClinic prend en compte ce facteur ?

Lors de la consultation, l’équipe de Hair2BeClinic s’intéresse au contexte global : période de vie, sommeil, charge mentale, antécédents récents. Le but est de distinguer ce qui relève d’une chute temporaire liée au stress et ce qui relève d’une vraie calvitie évolutive nécessitant une greffe.

Le patient est informé des délais de repousse, des phases normales de chute (shock loss) et des résultats à attendre. Cette transparence aide à réduire l’anxiété pendant le processus.