L’alopécie androgénétique chez les femmes et les adolescents ?

De nombreuses femmes rencontrent une perte de cheveux au cours de leur vie. Dans près de 75 % des cas, cette chute est liée à l’alopécie androgénétique, une condition héréditaire influencée par les hormones androgènes. La densité capillaire diminue progressivement, de façon plus ou moins marquée selon chaque personne.

Chez la femme, l’alopécie se manifeste généralement de manière diffuse, touchant l’ensemble de la chevelure. Chez les adolescents, elle peut apparaître dès la puberté, période où les hormones androgènes entrent en action. En revanche, les enfants avant la puberté ne sont pas concernés.

En résumé, l’alopécie androgénétique n’est pas une maladie. Les niveaux hormonaux restent normaux et dans la norme médicale.

L’alopécie n’est pas une maladie

Il est essentiel de rappeler que l’alopécie androgénétique n’est pas liée à un déséquilibre hormonal. Elle résulte d’une prédisposition génétique qui rend certains follicules pileux sensibles à l’action de la DHT, une hormone dérivée de la testostérone.

Des traitements médicaux comme le Minoxidil ou la Finastéride peuvent ralentir la chute et stimuler la repousse, mais sans l’arrêter définitivement. Actuellement, seules les techniques de greffe capillaire telles que la FUT ou la FUE offrent des résultats durables et scientifiquement validés.

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